« J’ai dû arrêter de travailler pour m’occuper de mon fils malade. Aujourd’hui, nous n’avons plus d’argent pour subvenir aux besoins de nos enfants… »

« Je m’appelle Shoshi Yankelowitz et j’habite à Jérusalem avec Shlomo, mon époux, et nos trois adorables enfants. Mon mari et moi sommes enseignants. Tout allait pour le mieux jusqu’au jour de la naissance de mon fils Moché. Ce jour-là, notre vie a basculé. C’était il y a cinq ans…Dès l’instant où j’ai plongé mon regard dans ses yeux d’un bleu si pur, j’ai su que Moché était spécial. Effectivement, Moché a rapidement été diagnostiqué comme un enfant à besoins particuliers, souffrant en plus, d’un sérieux problème cardiaque. Nous étions effrayés. Mais nous n’avions pas le temps de nous apitoyer sur notre sort. Notre fils avait besoin de nous. J’ai été contrainte d’arrêter de travailler pour prendre soin de lui, rester à ses côtés, le rassurer et le protéger.

Nous essayons de nous montrer forts pour ne pas que nos enfants ressentent l’angoisse qui étreint notre coeur au quotidien, mais nous n’avons hélas, plus les moyens de subvenir aux besoins de notre famille. Il nous arrive parfois de devoir choisir entre payer le loyer et acheter de la nourriture. Nous ne pouvons plus continuer ainsi. Nous n’avons d’autre choix que de nous tourner vers vous, chers frères juifs. S’il vous plaît, pour le bien de nos enfants, aidez-nous à remettre notre foyer à flot.

Qu’Hachem vous bénisse et vous gratifie d’une longue et belle vie en bonne santé jusqu’à 120 ans.

Merci,

Shoshi Yankelowitz »

Traduction de la lettre de recommandation du Rav Efraim Weizer du Kollel de Volozhin (originale ci-dessous)

“Tichri 5783,

Je viens recommander par la présente lettre, le Rav Shlomo Yankelowitz Chlita, un père de famille confronté à la pauvreté.

La naissance de leur fils Moché, un enfant à besoins particuliers souffrant de problèmes cardiaques – qu’Hachem lui envoie une guérison complète – a été une véritable épreuve pour eux. Aujourd’hui, Rav Shlomo et son épouse passent le plus clair de leur temps avec leur fils, ce qui a un impact évident sur leur capacité à subvenir aux besoins de leur famille. Ils n’ont pas de proches ou d’autres soutiens susceptibles de les aider à supporter un tel fardeau. Ils traversent une période très difficile.

Par conséquent, je supplie nos frères, membres du peuple juif – soyez bons et généreux. Soutenez cette famille, selon vos moyens. S’il vous plaît, aidez-les à traverser cette période difficile et prenez part à cette mitsva.

Celui qui est la Source de toutes les bénédictions, vous gratifiera de nombreux bienfaits.

Efraim Weiser

Kollel Volozhin – Yerushalayim”